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Les Bannières, Joe Jackson et C.

  • Photo du rédacteur: Mary DA
    Mary DA
  • 10 mai 2019
  • 5 min de lecture

Bon, contrairement à ma récente xième envie d'arrêter d'écrire sur fb, je vais continuer.

La formation d'hier sur les bannières, m'a bien indiqué que la peur, trop mise en avant par celui qui se dit ou veut chrétien, implique un "problème". En effet, la Foi en Dieu implique que satan et son règne, ses associés, comme l'est la peur, n'ont pas à avoir le dernier mot sur la prévalence de l'Eternel, Celui que nous avons reconnu comme notre seigneur, Celui qui nous sauve de ce mal sous toutes ces appellations et formes.

La bannière est une puissance, qui active un alignement clair entre la sphère spirituelle et nous ici dans la chair/la matière.

Et dire que je ne suis pas tant "branchée" que ça par les bannières, trop grandes, trop difficiles à manier. Moi qui aime quand même "contrôler"ce que je fais. Mais quand il nous a été demandé de dire pourquoi nous étions là, j'ai dit que j'étais "là haut" (montrant le lieu de l'église où se tiennent les veilles de prière) et que lorsque j'ai fait des mouvements que je fais des fois, une "soeur" (en Christ) m'a dit qu'elle voyait les bannières et m'a demandé d'aller en chercher en bas (pour continuer à bouger avec).

Il fallait que je sache.

J'ai bien compris/entendu et retenu certaines choses. Il y a un combat dans le spirituel, qui a pour enjeux la louange des chrétiens. Il s'agit de l'empêcher, pour certains, qui eux louent/adorent autre chose !

La peur est leur outil. Ils empêchent ainsi le peuple de Dieu de Le louer et d'avancer dans la mise en place du Plan de l'Eternel sur cette terre.

Il y a eu la connaissance intellectuelle transmise sur les bannières.

Je retiens que la mise en action de ces bannières nous amène à percevoir le spirituel.

L'activation de bannières amène le spirituel à se manifester dans la matériel. Nous nous alignons sur ce que Dieu fait (en agitant sa propre bannière, car il en manie une actuellement) et sur ce qu'il attend de nous.

Chacun a choisi une bannière parmi les nombreuses qui avaient été amenées. Arrivée en retard, j'ai dû m'assoir à un endroit précis et ai pris, au final, simplement celle qui recouvrait ma chaise: un shofar ...

Présentée sur le panneau explicatif comme un "appel au combat (spirituel).

Nul hasard, ni ici, ni pour celle qui fut mon binôme au final, pour qui je reçus une parole, ainsi qu'elle en reçut une pour moi, reliée à sa bannière: La liberté !

Ce fut très intéressant.

Nous avons posé des "actes prophétiques", notamment celui de porter toutes nos bannières en marchant de façon ordonnée autour du cercle que nous avions formé, puis en courant, bannières élevées sur le territoire de France, représenté au sol, criant Liberté (au final) et "ressentant" par nos pieds cette Liberté...

Nous avons reçu chacun une parole liée à notre étendard (bannière). Pour ma part, il s'agissait de prier pour le négatif en moi et en dehors de moi, de combattre cela et de prier pour les gens aigris.

J'ai compris que le corps de Christ que nous sommes, nous tous chrétiens où que nous soyons, mais particulièrement en France et à Paris, ce corps doit se débarrasser de ses points noirs pour pouvoir avancer d'un pas résolu dans les projets et attentes de Dieu pour nous/envers nous.

Nous sommes maintenus dans l'inaction par ces choses que nous devons voir et "dégager" et avancer chacun sur son terrain d'appel.

Tant que nous ne le ferons pas, nous ne pourrons incarner la volonté de l'Eternel sur cette terre, en France, à Paris et le mal semblera avancer de façon dangereuse et effrayante.

Je crois que si nous obéissons et allons là où Dieu nous veut, nous allons graduellement nous débarrasser de ce qui nous retient et empêche.

J'ai évoqué et tranquillement conseillé à mon binôme de s'informer sur la formation "libéré" car je pense avoir perçu que dans le projet qu'elle a, ce qui l'empêche d'avancer sont des choses liées à son passé et peut-être à un ou des "esprits" qu'il s'agirait de révéler et déloger. Car le chrétien ne peut être possédé mais il peut être démonisé quand il reste des bannières plantées par l'ennemi en lui. Quand il p^che et donne des droit à ce dernier sur sa vie !

Pour ma part je sais depuis un moment que ma liberté est, car je ne m'arrête pas vraiment à ce que les hommes (ou femmes !) vont penser de ce que je suis ou ne suis pas, de ce que je fais d' "étrange" ou pas, par contre il existe autre chose dans ma vie dans quoi je m'enferme et qui m'empêche d'avancer dans ce que Dieu veut, ne serait-ce que la communion fraternelle régulière (le lien).

Car je m'inscris volontiers dans cette vision, qui est que Jésus n'a pas crée un système rigide fait de religiosités, mais sa volonté fut que nous soyons libérés et en relation dans ce fameux Amour, dont je verrai à partager le chant inspiré du fameux passage (oublié en référence) proclamé par ma soeur et qui m'avait tellement touchée et avait contribué, en semence, à m'amener vers Dieu le Père par excellence ***

To be continued ¤

En 1ère ligne je mettrai plutôt cet excellent album à mes sens de Joe Jackson, qui me replonge dans d'excellents souvenirs.

Je ne sais pas si j'avais bien saisi à l'époque, à quel point je pouvais être en phase avec son énergie, sa "folie" et/ou sa sensibilité et profondeur ***

Et je note, en marquage, la rencontre et discussion avec C. (même prénom qu'une soeur de l'église d'hier) au comptoir d'un bar où je vais de temps à autres. Toute réservée d'abord, elle s'est révélée prolixe, intéressante et m'a évoqué ma cousine N.

J'ai crû percevoir des choses, en ai évoqué d'autres du coup.

Comme beaucoup d'humains, elle cherche, le sens de cette existence et traverse des contrées que j'ai connues aussi ...

Puisses tu seigneur avoir le regard sue elle et sa vie, car je suppose certaines difficultés, qui, bien sûr, n'ont pas été évoquées. J'espère la revoir. Elle habite à côté, je lui ai dit habiter plus loin. Les cafés restent des lieux où on peut aisément dialoguer avec les gens.

C'est même un lieu de convivialité pour moi, pour celui qui reste ouvert et ne se défie pas tant que ça.

Le personnel connait ses habitués et peut dans certains cas, en fonction de sa vision du métier, être un intermédiaire entre certains.

Baptisée dans un bar, hélas disparu aujourd'hui, j'avoue aimer ce genre de lieux. Il est question de commerce, certes, mais "tout peut y arriver".

 
 
 

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