Journée du jeudi 5.12.2019

Au delà de la grève dite générale ...

Le général n'existe pas dans ma vision, il y toujours du deux... Deux positions opposées pour un même sujet. L'unité est difficile voire impossible.

(Monde de dualité. satan a insinué le doute dès la Génèse en se servant d'Eve en priorité, car elle n'avait pas encore été crée lorsque Dieu avertit Adam du risque de mort, si le fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal était mangé.

Il a été vers celle qui avait reçu l'information indirectement. une faille était possible. Bien qu'Adam ait cédé et mangé lui aussi lorsqu'elle lui tendit la pomme. Par faiblesse devant sa femme ou parcequ'ils ne faisaient qu'une seule chair étant liés ? Ou pour une autre raison compréhensible humainement voire pas.)

Unité difficile à moins d'avoir une même source qui tend à s'aligner sur un objectif final commun.

Concéder de lâcher des choses pour cadrer ...

A une époque assez égocentré et égoïste, cela est difficile. Le bien commun existe t-il ? Un socle commun existe t-il ? Un fondement commun ? Des valeurs de base communes ? D'un point de vue légal, pour le droit, la nation a une définition.

J'ai oublié mes cours de 1ère année d'économie.

J'ai la définition de la nation d'un point de vue spirituel apprise de la bouche de Christiane Jeanville, cette danseuse belle et douce qui rend si bellement gloire à notre Seigneur commun ...

Le corps d'une nation est son peuple,

Son âme est son art et a culture

Son esprit est son gouvernement

Individuellement l'esprit est la conscience du bien et du mal, la capacité d'intuition et celle de révélation. L'âme consiste en les pensées, sentiments et volonté. Le corps doit constituer en les os, le sang et ... tripartie).

Tout ce que nous lions sur terre est lié au ciel (et vice-versa)

Comme ce que nous délions sur terre est délié dans le ciel.

Il s'agit de contenir, empêcher d'agir. Les esprits contraires à Christ. peur, manque, soumission, addiction, abandon, rejet, impudicité (impureté, fornication, prostitution ...), maladie, rebellion, désordre, dispersion, inimitié, querelle, division, envie, jalousie, mort, ou puissance (niveau plus élevé de destruction et emprise): mamoon (système inique/injuste d'argent), reine du ciel (coupe l'accès au Père ou au père, femme toute puissante ... sirène des eaux: séduction, relations inadaptées, célibat incompréhensible ...) et d'autres encore ... satan dispose d'une armée nombreuse et efficace pour asservir, dominer, détruire ...

Si un être n'est pas d'accord, on ne peut chasser un tel esprit en lui. Dieu respecte le libre arbitre donné dès le commencement.

satan lui ne le respecte pas. il ne vous demande pas votre consentement, il impose et prend.

Interruption.

Pensée pour Aaron jeune garçon en pleurs avec sa mère et soeur en pleine rue. je les avais vu enter en un lieu précis et craignais du grave. je les ai rattrapé et suis intervenue en m'excusant. Ce n'était pas si grave que c'eut pu l'être. J'espère avoir été un encouragement. Changer d'école n'est pas facile. Il ne voulait pas. Dur pour une mère d'accompagner sa progéniture dans certains passages ici obligés. je ne connais pas tout mais ai, comme toujours, prié immédiatement après les avoir quitté et avoir demandé si je pouvais prier pour eux.

Je lui a dit à ce petit garçon qu'avec l'amour de sa famille on pouvait faire beaucoup de choses et en référence avec Aaron dans la Bible, j'ajoutais "même traverser la mer rouge" !

Je renoue avec un quartier où j'eus des habitudes il y a ... trente ans ! Et j'aime ce quartier de plus en plus ... J'enviasge d'acheter une "mezzuza" comme me le dit un jeune homme dans une boulangerie du secteur. Afin d'apposer sur mes linteaux la parole choisie de Dieu. En ce moment Esaïe 14: 1 à 27 ou la proclamation de la fin de l'esprit d'Assur/de satan !

Mélange de mamoon et de tradition religieuse. D'abomination et de fondement. Frayer entre les deux essayant de ne pas juger négativement et d'aduler l'autre. Trouver aussi la voie juste entre le rejet de l'avoir, du confort et la quasi idolatrie de la souffrance, des sans domicile fixe ... Ne pas perdre de vue que le privilège n'empêche pas la compassion, que tous nanti ne méprise pas le pauvre et que le pauvre peut par trop de souffrance se replier sur lui égocentriquement et rejeter tout autant qu'il est rejeté souvent.

Y a t-il ce qui est juste et injuste, normal et anormal ?

Il est tard, j'y reviendrai éventuellement ***