Pénible
- Mary Da
- 3 sept. 2020
- 2 min de lecture
Ce sentiment de manque de "liberté", de contrainte, de baillonnement ...
Surtout quand on est dans le camp qui n'écoute pas les flons flons partout distillés et qui battent le pavé.
Mais qu'on lit ailleurs d'autres façons de voir la réalité que celles qui trustent toutes les voies balisés censées rassurer ... Comme souvent, il y a deux visions possibles.
Le hic est que la santé concernée ici de manière dite publique est l'affaire d'hommes et de femmes, qui en principe, ont choisi cette orientation et voie professionnelle pour préserver/sauver la vie.
Pas tous. D'autres sont motivés par la position sociale censée être conférée, le prestige voire les hauts salaires de certaines spécialités, particulièrement dans le privé (l'apparence devenue tellement centrale et modifications esthétiques associées, par exemple).
J'imagine que certains ont choisi cette spécialité réellement mus par la volonté de soulager d'horribles souffrances morales associées à cette apparence qui parfois, par exemple, mais pas seulement, est déconstruite par accidents de la vie.
Bref, un médecin digne de cette appellation, outre un côté cartésien liée à cette démarche scientifique qui s'appuie sur l'observation de résultats concrêts obtenus suite à expériences définies en vue de répondre à des hypothèses qu'il s'agit de valider ou invalider, est un être logique, cohérent, rationnel et en principe intègre. Un être qui a prêté serment. Qui respecte une sorte de code de déontologie. Observe une conduite.
Difficile, même en usant de la peur pour sa carrière, son confort, ses finances, de dévier un tel être de son fondement quand il en a réellement un.
Certains choisiront "l'esprit dit de maamon" et le confort matériel, la continuïté de leurs affaires/carrières, la tranquillité qui rime avec ne pas fâcher ce qui domine.
Et Dieu sait à quel point il s'agit de dominer particulièrement depuis un certain décret du 6 décembre 2016, qui par la création d'une instance qui
"contrôle" via l'executif le judiciaire, fait exploser l'indépendance des trois pouvoirs sur laquelle repose notre constitution et peut-être bien même notre démocratie et république...
Et d'autres se lèveront, quelquesoient les conséquences pour eux, car leur conscience ne leur permet pas de fonctionner autrement. D'autant que le "bon sens" est grossièrement mis à mal, sans que cela ne semble défriser massivement un peuple pourtant connu pour son "cartésiannisme" ...
D'autres ressorts sont manifestement plus forts.
J'y réfléchirai encore et y reviendrai probablement.
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